Lettre Hebdomadaire- 24 Avril 2020
Une sortie de confinement progressive : L’Europe et la France sont en train de programmer leurs mesures de sortie de confinement, comme vous l’avez compris c’est un choix de déconfinement progressif qui a été retenu par les gouvernements dont les conditions précises restent à ce jour inconnu. C’est un exercice périlleux, puisqu’il s’agit de choisir entre la peste et le choléra et entre ces deux mauvaises solutions : soit rester confinés et mettre à terre l’économie de façon irrémédiable soit sortir de confinement alors que le virus circule encore. Les instances politiques et les investisseurs naviguent à vue dans un brouillard qui tarde à se dissiper. Dans ces conditions, si vous êtes susceptibles d’avoir de besoin de liquidités sur vos placements, la prudence doit rester de mise. Pour les plus optimistes d’entre nous, ceux qui possèdent une aversion au risque faible et un horizon de placement long terme, la période peut être encore propice, malgré les récentes hausses, à des prises de positions progressives sur les marchés financiers. Le pétrole qui déraille temporairement : Preuve que les prévisions à court terme sont en ce moment extrêmement délicates, le pétrole qui se négociait aux environs de 60 dollars le baril à la fin du mois de janvier a connu pour la première fois de son histoire, un épisode de prix négatifs cette semaine. La demande mondiale ayant complètement chuté sur certains contrats spécifiques, le baril a plongé jusqu’à -37 dollars soit -34 euros ! Même si cette situation est temporaire, elle n’en reste pas moins complètement inédite et s’explique notamment par le fait que certains acteurs de ce marché, ne pouvant pas stocker, ou ne voulant pas payer les frais de stockage ont été prêts à payer pour se débarrasser de leurs stocks. La Banque Centrale renforce ses mesures au chevet de l’Europe : Suite à de récentes tensions sur les niveaux d’intérêts que demandent les marchés financiers pour prêter aux Etats européens les plus en difficultés, la Banque Centrale a été contrainte d’intervenir. En effet, le taux italien à 10 ans est remonté jusqu’à 2,26% en séance, son niveau maximum. Les coûts de financement de l’Espagne, du Portugal et de la Grèce ont tous bondi de plus de 0,10%. La Banque Centrale européenne a annoncé qu’elle pourrait accepter les obligations d’Etat et d’entreprises dégradées en “catégorie la plus médiocre” en garantie des crédits accordés aux banques. L’ensemble de ces mesures ont pour objectif d’inciter les investisseurs et les banques à prêter au maximum d’entreprises et d’Etats qui en ont besoin. Nul ne sait aujourd’hui si ces mesures seront suffisantes pour minorer le nombre des défauts d’entreprises et maintenir le plus grand nombre d’emplois possible après cette crise, mais à l’heure où nous écrivons, d’autres négociations sur les mesures de soutiens financiers sont en cours au niveau des instances européennes dont l’issue sera essentielle pour la sauvegarde de nos économies et la cohésion du projet européen. La semaine prochaine, Frédéric Bonnet, notre informaticien interviendra sur la prépondérance du digital et du numérique dans cette période de confinement en ouvrant la réflexion sur les changements impulsés par ce secteur dans nos pratiques et habitudes. En attendant, nous restons naturellement à votre entière disposition pour répondre à vos questions et vous souhaitons tout le courage nécessaire dans cette conjoncture difficile. L’équipe FIDESCAL CONSULTANTS |
Nous vous rappelons que notre cabinet reste ouvert pendant cette période de confinement mais que l’accueil du public est interdit. |
Lettre Hebdomadaire- 17 Avril 2020
Doit-on modifier son organisation patrimoniale au cœur de la crise que nous traversons! Bon nombre d’investisseurs se projettent sur les évolutions de leur patrimoine à moyen et long terme en adéquation avec leurs objectifs. Comme nous l’écrivions la semaine dernière, la reprise durable et consolidée des marchés est suspendue à la résolution de la crise sanitaire. Les inconnues sur la situation de nos économies à la sortie de crise sont multiples et difficilement résorbables à ce jour. Fort de constat, quelle attitude convient-il d’adopter ? En pareille conjoncture, l’immobilisme imposé par le confinement ne doit pas être de mise dans la gestion de son patrimoine, mais au contraire l’opportunité dans un temps mieux maitrisé, de préciser et valider cette dernière, de mettre au cœur de ses activités des dossiers repoussés habituellement aux calendes grecques, le tout dans un pragmatisme plus que jamais nécessaire, et une prise en considération d’environnement financier, juridique, fiscal et social en perpétuel évolution. Notre lecture de la crise actuelle nous amène à penser que la croissance d’après crise ne sera plus du même ordre que celle que nous avons pu connaître ces dernières décennies. Naturellement aucune généralisation n’est possible, si des secteurs comme le tourisme, l’aéronautique présentent un risque quasi certain de forte récession, d’autres comme l’industrie verte, le numérique et le digital, la santé offrent une visibilité tout autre… Dans une optique long terme, des opportunités vont bel et bien se présenter aux investisseurs, pour lesquels la progressivité des prises de position sera plus que jamais essentielle. A l’heure où nous écrivons, la remontée des marchés financiers de près de 25% sur le dernier mois nous semble au regard de ses fondements quelque peu excessive dans sa rapidité et non sans risque de forte volatilité et de nouveaux décrochages à court terme. Plus concrètement, si nous analysons déjà l’offre des produits structurés disponibles, nous considérerons qu’un indice CAC 40 revenu aux alentours de 4000 points constituerait une première opportunité de prise de position sur les marchés actions. Au-delà de l’évolution des marchés financiers, la gestion de votre patrimoine nécessite bien d’autres décisions et actions. La révision des clauses bénéficiaires de vos contrats d’assurance vie, l’organisation de la transmission de vos actifs, l’optimisation et la sécurisation de vos sociétés civiles, la révision de vos prêts et de leurs assurances sont autant de sujets non exhaustifs sur lesquels il peut être opportun d’agir. Nous nous tenons naturellement à votre disposition pour vous assister sur ces problématiques, mais au sein de la présente lettre, nous avons choisi d’aborder plus spécifiquement l’actualité retraite. Quel contrat pour préparer ma retraite ? Dans un objectif de simplification et d’amélioration de l’attractivité des contrats retraites complémentaires facultatifs, le gouvernement a initié lors du dernier trimestre 2019 au travers de la loi pacte, une réforme globale de ce secteur. Dans ce cadre, un nouveau contrat a été créé, le PER (plan d’épargne retraite), pouvant accueillir par transfert les contrats retraite Madelin, Préfon, Corem et PERP déjà souscrits. Deux questions se posent donc à chacun d’entre nous, ai-je intérêt à ouvrir ce nouveau type de contrat ? Dans la positive ai-je intérêt à procéder au transfert de mes anciens contrats vers ce dernier ? Avec le contrat PER, le législateur a introduit une sortie optionnelle à 100% en capital au moment de sa liquidation, lorsque cette dernière était obligatoirement sous forme de rente pour les contrats Madelin, Préfon, Corem et plafonnée à 20% en capital de la provision mathématique pour les contrats PERP. Cette nouvelle capacité à sortir en capital offre une souplesse de gestion, une capacité à transmettre à ses héritiers, un potentiel de rentabilité, optimisés dans de nombreuses situations. Le bon choix ne peut néanmoins se soustraite à une analyse approfondie des contrats déjà ouverts (fiscalité, garantie de table, pénalités et frais contractuels, taux technique) et de votre situation personnelle avant toute prise de décision. Nous ne manquerons pas d’évoquer ces arbitrages possibles dans le cadre de la gestion de vos dossiers. En attendant, nous restons naturellement à votre entière disposition pour répondre à vos questions et vous souhaitons tout le courage nécessaire au moment d’aborder ce second mois de confinement. L’équipe FIDESCAL CONSULTANTS |
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Lettre Hebdomadaire- 10 Avril 2020
La durée de la crise sanitaire déterminera l’ampleur de la récession : Nous l’avons vu ensemble la semaine dernière, la reprise durable et consolidée des marchés financiers est suspendue à la résolution de la crise sanitaire, nous n’y sommes malheureusement pas encore. Ainsi, au fur et à mesure de l’évolution de la propagation du virus et des annonces politiques, la France prend petit à petit conscience de l’installation pour une durée croissante des mesures de restrictions de déplacements. Notre Pays va être encore paralysé plusieurs semaines voire plusieurs mois avec pour conséquence directe, une augmentation des impacts économiques. L’onde de choc va impacter lourdement l’économie : Les économistes ont commencé à dresser un tableau des premières conséquences de cette crise économique et celui-ci se noircit semaine après semaine. Nous avons appris cette semaine que le Produit Intérieur Brut (P.I.B.) français s’enfonce de 6% au premier trimestre selon la Banque de France. Selon leurs prévisions, chaque mois de confinement coûterait entre 6% et 8% de PIB à la France. La récession à venir se dessine progressivement. Tout ceci a amené cette semaine le ministre de l’Economie et des Finances à déclarer que la France allait connaître la pire récession de son histoire depuis la Seconde Guerre mondiale. A l’heure actuelle, près de 7 millions de salariés sont en chômage partiel aux frais de l’Etat. Dans nos précédentes communications, nous avons vu que des pans entiers de notre économie vont être fortement touchés (Tourisme, Loisirs et culture, aéronautique, …). Avec une sortie de confinement repoussée, puis un retour progressif à une activité normalisée, c’est tous les secteurs d’activités qui vont souffrir en cascade. La propagation de l’onde de choc va passer des consommateurs aux producteurs et des fournisseurs aux clients… En France, les projections font état d’un risque de faillites d’entreprises supérieur à 15%, ce qui représenterait 58.000 entreprises déposant le bilan, touchant prioritairement les petites entreprises. Suite à la crise de 2008, les faillites s’étaient élevées au nombre de 63.000 et le taux de chômage avait alors bondi de 7 à 10% de la population active. Dès la fin du confinement, l’essentiel de l’appareil productif préservé, l’économie se relèvera progressivement : Dans ce marasme, la bonne nouvelle vient des mesures historiques mises en place par la banque centrale européenne et le gouvernement qui vont permettre d’éviter, à coup de centaines de milliards d’euros, un effondrement total. Grâce à ces mécanismes exceptionnels, une partie des effets de la crise va être différée dans le temps par le biais d’emprunts nouveaux et de décalages de paiement des charges fiscales et sociales. Il restera néanmoins un endettement et des reports qu’il faudra bien rembourser avec une conjoncture dont les économistes s’accordent à dire qu’elle devrait s’inscrire sur des niveaux de croissance en nets retraits par rapport à ceux des dernières décennies. Le chiffre d’affaires non réalisé durant les mois de confinement sera, lui, définitivement perdu. Le chômage et les difficultés actuelles rencontrées par un nombre croissant de commerçants et d’indépendants vont avoir un impact sur la consommation. Les Nations partout dans le monde risquent de maintenir le repli sur elles-mêmes, qu’elles ont initié durant la gestion de crise afin de se protéger des retours potentiels de la contagion. Tout ceci va pénaliser les entreprises exportatrices et importatrices, les consommateurs français, par réflexe de protection, vont probablement différer une partie de leurs dépenses et investissements. Vous l’avez compris, nous manquons encore de visibilité mais les contours de la crise commencent à se dessiner avec, en scénario central, une reprise progressive de l’économie à compter du deuxième semestre 2020. Les fondations seront préservées mais il faudra rebâtir avec patience et certainement différemment. L’histoire de notre pays a démontré notre capacité à redresser des situations où les pertes humaines et matérielles étaient bien supérieures, œuvrons tous pour qu’il en soit une fois encore ainsi… L’équipe FIDESCAL CONSULTANTS |
Nous vous rappelons que notre cabinet reste ouvert pendant cette période de confinement mais que l’accueil du public est interdit. |
Lettre Hebdomadaire- 03 Avril 2020
Lors de notre réunion annuelle du jeudi 6 février 2020, nous avions fait intervenir Thibaud PREBAY de la société de gestion FINANCIERE ARBEVEL. Vous aviez été nombreux à nous faire part de votre intérêt concernant le point de vue et la qualité de sonintervention sur la disruption dans l’économie. Nous partageons également une grande partie de son analyse et voulions vous faire partager sa vision sur l’avenir économique : « COVID-19 : Où en sommes-nous ? Le virus pèse à présent sur les trois grandes zones économiques mondiales à des stades très différents. En Asie, le confinement semble toucher à sa fin et l’activité économique commence à reprendre progressivement, et ce, de manière très digitalisée. En Europe, le confinement bat son plein et nous allons pouvoir bientôt constater les premiers signes d’inflexion dans les courbes de nouveaux cas confirmés. Enfin, aux Etats-Unis, peu de mesures ont été mises en place jusqu’à présent. Le réveil sera difficile et il est probable que l’impact économique du COVID-19 soit plus conséquent (pas de couverture sociale, pas de protection de l’emploi ou de chômage) en attendant les mesures d’accompagnement… Les marchés financiers anticipent deux à trois mois de confinement en Europe et aux Etats-Unis. Deux scénarios se dessinent. La confirmation de l’efficacité des traitements (plusieurs pistes de traitement à partir de médicaments existants) administrés aux patients atteints du virus pourrait permettre aux marchés d’entamer un rebond. En revanche, si le confinement est amené à durer plus longtemps (plus de 6 mois), les marchés devraient alors continuer sur leur tendance baissière actuelle. Ce scénario nous paraît moins probable en observant l’évolution de la crise sanitaire en Chine. Un rebond en vue ? Au 24/03/2020, l’indice CAC 40 affiche une baisse de -35% depuis le début de l’année. Les marchés étant corrélés à l’évolution des Bénéfices par actions, on anticipe donc pleinement la baisse des Bénéfices par actions à venir en 2020 mais sans envisager la reprise de ces derniers dès 2021. Il convient de rappeler que les rebonds de marchés qui ont suivi les fortes corrections passées ont commencé plus d’un an avant le rebond matérialisé des résultats. C’est pourquoi nous pensons que les investisseurs qui souhaitent attendre d’avoir plus de visibilité avant de se repositionner sur les marchés pourraient vraisemblablement se priver du potentiel de rebond. A noter que trois conditions doivent être réunies pour observer un rebond : Des banques centrales à la rescousse ; Des relances budgétaires pour soutenir l’économie ; Des avancées sur le traitement ou la prévention de la maladie. A ce jour, deux des trois conditions nécessaires sont réunies. Les états et banques centrales à la manœuvre Partout dans le monde, les banques centrales (BCE, FED…) ont su réagir pour tenter de limiter l’impact économique de la crise sanitaire. Ces dernières ont commencé à sortir « l’artillerie lourde » pour protéger les marchés obligataires et permettre aux états de financer des plans de relance massifs. Dans la foulée, tous les pays des G7 ont mis en place des mesures de soutien budgétaire conséquentes pour aider leurs entreprises et maintenir leurs économies à flot. Il y a peu de doute sur la capacité des banques centrales à approfondir davantage leurs mesures de soutien monétaire dans les semaines à venir. L’endettement n’est pas un sujet mais les déficits seront massifs (supérieur à 10% en 2020). Le pacte de stabilité européen a par ailleurs déjà été suspendu pour permettre un assouplissement des règles de déficit budgétaire (3% du PIB de déficit et 60% du PIB de dette), ce qui n’a jamais été fait jusqu’à présent, toutes crises confondues. Le point d’attente reste les Etats-Unis qui n’ont pas encore réussi à faire passer un vote sur une politique de relance budgétaire. Analyse sectorielle : quelles opportunités ? L’impact économique de la crise sanitaire sera très variable en fonction des secteurs. Notre analyse différencie trois types de thématiques : Les secteurs à risque durable (loisirs, voyages, aéronautique, banques etc.). Ces derniers sont les plus impactés, accusent les plus fortes baisses et il est peu probable d’envisager un fort rebond à court terme. Les secteurs peu impactés (télécom, maisons de retraite, distribution alimentaire etc.). Il convient de se positionner sur les valeurs qui offrent les meilleures perspectives à long terme (Orpea plutôt que Casino par exemple). Les secteurs de retournement qui jouent des changements sociétaux structurels, accélérés par la situation conjoncturelle (digitalisation, automatisation, robotisation, e-commerce, livraison à domicile, logiciels, sécurité informatique, thématique verte liée à la prise en compte des enjeux écologique, etc.) qui sont ceux que nous voulons privilégier aujourd’hui. Notre stratégie consiste aujourd’hui à acheter des sociétés d’avenir, moins exposées et plus résilientes face à la crise sanitaire, même si la baisse de celles-ci est plus limitée ; que d’acheter des sociétés plus impactées, dont les cours de bourse ont chuté plus fortement, où les rebonds restent plus hypothétiques et qui peuvent souffrir plus durablement des changements sociétaux induits par le COVID-19. Quelle stratégie pour se (re)positionner sur les marchés financiers ? Au cours des dernières semaines, la baisse des marchés s’est réalisée sans aucun discernement. Certains secteurs ont déjà corrigé sévèrement (loisirs, voyages, aéronautique, banques etc.) mais la baisse pourrait se prolonger eu égard à la sensibilité des fondamentaux de ces entreprises aux mesures prises pour endiguer l’épidémie (restriction de déplacement, quarantaine, confinement, etc…). A contrario, de nombreux cours de bourse de sociétés exposées sur des thématiques porteuses (digitalisation, e-commerce, jeux-vidéos, cybersécurité, paiement à distance, automatisation et robotisation) ont été injustement sanctionnés en bourse. Il est certain que ces sociétés verront leurs résultats des premiers trimestres obérés par le ralentissement économique. Cependant, la crise sanitaire que nous vivons actuellement va profondément changer nos habitudes de consommation. Nos entreprises sont, par conséquent, amenées à se digitaliser pour survivre dans ce nouveau paradigme et pérenniser leurs activités. Chez Financière ARBEVEL, nous sommes convaincus qu’une fois la crise passée, cette digitalisation restera, voire s’intensifiera. Nous demeurons assurés que ces thématiques resteront porteuses à long terme et justifient de profiter des points d’entrée qui apparaissent. Nous pensons que l’émergence du COVID-19 peut marquer un tournant majeur dans nos économies développées, tout particulièrement dans la manière dont nos entreprises capitalisent sur les nouvelles technologies pour se protéger contre des menaces d’un nouveau genre, mais également dans le comportement des consommateurs sur de nouveaux modes de consommation. Aussi douloureuse soit-elle, cette crise vient confirmer l’importance et le potentiel de la « Disruption » dans nos économies, une thématique chère à Financière ARBEVEL depuis la reprise de la société en 2009. La crise sanitaire étant mondiale, une stratégie mid cap européenne est susceptible de rebondir plus rapidement face à une inflexion sur le nombre de nouveaux cas de COVID-19 en Europe, car moins exposée aux autres zones économiques où la crise sanitaire n’aura pas atteint son pic (Etats-Unis). » L’équipe FIDESCAL CONSULTANTS |
Nous vous rappelons que notre cabinet reste ouvert pendant cette période de confinement mais que l’accueil du public est interdit. |